Chères amies, cher amis, toute l'équipe de l'Observatoire vous souhaite une année 2025 riche en bonheur, santé, sens et satisfaction. Le mois de décembre a vu pour nous l'aboutissement fructueux de trois partenariats, avec l'UMR, avec les...

Ce mois de novembre a vu les premiers fruits de deux partenariats engagés de longue date. D’une part, nous sommes fiers d’avoir contribué au rapport de la Fondation Jean Jaurès sur les arbitrages des Français face à l’augmentation du...

Alors que la France est confrontée à un budget d'austérité sans précédent et que partout dans le monde les conséquences du changement climatique se révèlent au moins aussi graves que l'avait annoncé le GIEC, le bien-être peut-il encore...

Observatoire Arrivées et départs Nous nous réjouissons de trois arrivées en septembre à l'Observatoire. Louis Fréget nous rejoint pour un post-doctorat. Il va naturellement avancer vers la publication de ses propres recherches, et aussi...

Pour la rentrée, nous réalisons un nouveau focus sur les enseignants, au travers de la deuxième vague du Baromètre de la DEPP. Le respect et la confiance sont au centre de notre analyse, et montrent une profession où la solidarité reste...

En ce début d'été agité par les élections législatives, nous vous proposons quatre nouvelles Notes. Samedi dernier, les Marches des Fiertés sont venues conclure un mois consacré aux droits des personnes LGBTQIA+. Nous nous sommes penchés à cette occasion sur la satisfaction des ménages de même sexe. Nous nous sommes également intéressés aux différence de genre dans la perception de l'avenir, confirmant que les femmes ont en général une vision plus sombre des perspectives individuelles et collectives que les hommes. Alors que les jeunes bacheliers et bachelières sont encore souvent en attente des résultats définitifs pour leur entrée dans le supérieur, nous proposons une synthèse de la première vague de l'enquête sur le bien-être en classes préparatoires.

Nous sommes heureux de vous annoncer la parution de l'édition 2023 de notre ouvrage annuel sur le bien-être en France ! Vous pouvez maintenant le télécharger et retrouver la conférence de présentation. Régions de France a par ailleurs...

En ce début de mois de mai, nous publions une Note qui revient sur le bien-être des retraités en France, en dialogue avec les travaux de L. Soulat, que nous avions croisé en fin d'année dernière au Conseil d'Orientation des Retraites. Note...

Cette édition de notre lettre d'information reflète un mois de mars particulièrement riche dans notre domaine. Dans notre dernière Note, Miren Lafourcade souligne l'hétérogénéité des trajectoires des villes françaises dans l'adoption du...

Ce mois-ci, nous ne mettons ici en valeur que des publications externes : nous menons de front de multiples travaux, qui devraient aboutir bientôt — à commencer par notre rendez-vous annuel Le Bien-Être en France ! Rendez-vous donc dans...

La vague de décembre 2023 de notre enquête trimestrielle montre une stabilisation des principaux indicateurs de bien-être proches de leur moyenne, mais sur un fond d'inquiétudes persistantes. Le mois de janvier a pour nous été marqué par la...

Toute l'équipe de l'Observatoire du bien-être du CEPREMAP vous souhaite une bonne et heureuse année 2024 !Le remarquable What Works Centre for Well-Being a annoncé en décembre sa fermeture. Il s'agit là d'une grande perte pour toutes les...

Nous avons le plaisir de partager avec vous un riche actualité de parutions dans cette Newsletter, avec trois Notes et une contribution à France, Portrait social 2023 de l'Insee. Nous sommes très fiers de présenter ces travaux. Nous soulignons...

Observatoire Le Bien-être des Français – Septembre 2023 Si la satisfaction des Français quant à leur situation présente est stable, voire en légère progression, septembre est dominé par un approfondissement des inquiétudes au...

C'est avec une grande émotion que nous avons participé à la journée d'hommage à Daniel Cohen le 29 septembre dernier. Merci à celles et ceux qui étaient là ou qui l'ont suivi à distance. Les publications que nous présentons ce mois...

En juin, nous avons parlé de travail. Cela fait longtemps que nous voulions cartographier la satisfaction dans la vie et le bien-être au travail en fonction des catégories socio-professionnelles. Nous avons enfin publié le premier volet de ce chantier, qui met en évidence un surplus de satisfaction dans les métiers de la fonction publique, particulièrement les agents de Catégorie A et assimilés, mais aussi un mal-être ouvrier. Dans le même temps, Claudia Senik a dirigé pour la Fondation des sciences sociales un ouvrage pluridisciplinaire faisant le bilan du passage massif au télétravail ces dernières années.

Le travail est à nouveau au centre des préoccupations actuelles. Nous vous avons proposé ce mois-ci un tour d’horizon des effets du télétravail sur la satisfaction, et nous relevons une série d’articles motivants sur le sujet. Nous...

Nous sommes heureux de vous annoncer la parution de la troisième édition de notre panorama du bien-être en France ! Si vous avez raté la conférence de présentation en ligne, vous pouvez la retrouver sur notre site, avec le lien de...

En ce début de printemps, nous sommes heureux de vous proposer trois Notes ainsi qu’un billet de blog. Outre notre point trimestriel sur la conjoncture, nous nous sommes penchés à l’occasion de la journée des droits des femmes sur le...

Dans notre Note de février, nous avons exploré la relation compliquée des Français avec l’avenir, et en particulier leur pessimisme dès qu’il s’agit de l’avenir lointain ou collectif. Ce mois de mars sera l’occasion de faire le...

La vague de décembre de notre tableau de bord du bien-être des Français est dominé par les inquiétudes économiques. Le terme inquiétudes est ici central : les anticipations concernant sa propre position financière, la situation économique du pays et l’avenir personnel sont au plus bas, mais dans le même temps, la satisfaction à l’égard de la situation matérielle présente – qu’il s’agisse de la position financière ou du niveau de vie ressenti – restent stables, à des niveaux comparables à avant la pandémie. Nous poursuivons également notre exploration des représentations et pratiques environnementales des Français, avec cette fois-ci une comparaison à l’échelle européenne. Très conscients de l’urgence environnementale, les Français sont en avance sur certaines pratiques, comme le tri, mais en retard sur d’autres, comme les transports. Cette enquête met également en évidence d’importants contrastes sociaux, de genre et de bien-être. Parmi les articles qui ont retenu notre attention ce mois-ci, nous remarquons que les données riches, issues d’enquêtes régulières, commencent à jeter plus de lumière sur l’impact de la pandémie et des confinements, et devraient permettre d’y voir plus clair dans les nombreux phénomènes mis en relief par les enquêtes ad hoc.

Bonne année 2023 à toutes et à tous ! Nous débutons l’année par une Note sur les trajets domicile-travail. Il s’agit d’un domaine où la recherche est encore parcellaire, mais nous avons tâché d’en dégager des lignes de force qui soulignent ce que les indicateurs de bien-être subjectif peuvent apporter à l’amélioration de notre expérience quotidienne. Nous avons par ailleurs relancé le Carnet de l’Observatoire, pour y héberger de courts billets et réactions qui ont plus vocations à souligner un point précis et à ouvrir le débat.

Nous avons publié coup sur coup deux Notes en novembre. La première s’inscrit dans notre long chantier d’exploration des liens entre attitudes environnementales et bien-être. Nous y exploitons la possibilité de croiser les plate-formes « Bien-être » et « Environnement » de l’enquête Camme. La seconde vient rendre compte d’un travail d’actualité d’A. Prati sur le lien entre inflation perçue et bien-être – un sujet que nous avions commencé à défricher dans notre Rapport 2021. Pour la première fois, la Nouvelle-Zélande (Aotearoa de son nom Māori) publie une évaluation annuelle de l’action du gouvernement à l’aune d’indicateurs de bien-être. À nos yeux, il s’agit du travail qui aurait dû être conduit en France depuis 2016 en suivant la loi Sas sur les nouveaux indicateurs de richesse. Nous nous réjouissons de disposer désormais d’un modèle.

Nous sommes heureux de vous annoncer ce mois-ci la première publication issue d’un chantier de long cours : les premiers résultats du Baromètre du bien-être au travail des personnels de l’Éducation nationale. Nous avons accompagné la DEPP dans la construction du volet « Bien-être » du questionnaire, et allons maintenant participer à l’analyse de la première vague de cette enquête, qui a vocation à être conduite tous les deux ans. Il s’agit d’une étape importante pour nous : le Ministère de l’Éducation Nationale démontre par l’exemple l’importance de mesurer le bien-être de ses agents, et les leviers d’amélioration que permet cette mesure. Comme chaque octobre, nous avons publié les résultats de la vague de septembre de notre Tableau de bord du bien-être en France. L’image est dominée par d’importantes inquiétudes quant à la situation économique, qui se traduisent en partie par une baisse du bien-être actuel et des anticipations à moyen terme.

Nous avons présenté le 22 septembre dernier notre dernier ouvrage, Le Bonheu est sur Twitter. Nous vous invitons à découvrir la présentation de Thomas Renault en vidéo, et à explorer vous-même les tendances à l’aide de notre baromètre en ligne. Deux publications externes importantes ce mois-ci : le Good Childhood Report britannique, qui nous rappelle qu’il manque sans doute une vision aussi complète et synthétique du bien-être des enfants et adolescents en France, et la mise en accès libre du Handbook for Wellbeing Policy-making.

Nous entamons la rentrée avec trois annonces de publication. Notre note de conjoncture d’été, parue un peu plus tard que d’habitude, met en évidence une grande inquiétude des Français quant à l’économie du pays et leurs finances personnelles, même si les métriques de bien-être subjectif résistent encore. Nous poursuivons en ce début septembre notre exploration de l’International Survey Program quant aux représentations des sociétés. Après avoir montré en mai les ambiguités de la vision de la France comme une société de classes moyennes, nous adoptions une perspective plus comparative pour positionner les représentations des Français quant à leurs perspectives de mobilité sociale. Enfin, nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie d’un Opuscule, Le Bonheur est sur Twitter, qui est la première pierre d’un chantier de mobilisation de nouvelles données pour mieux comprendre le bien-être et le moral des Français. L’ouvrage s’accompagne d’un nouveau baromètre en ligne, consultable dès maintenant ! Nous espérons vous retrouver pour la présentation, le 22 septembre.

Cela fait longtemps que nous voulions faire le point sur ce que le bien-être subjectif peut nous dire quant aux enjeux de la transition écologique. Nous sautons le pas ce mois-ci, avec comme première livraison un parcours de la littérature...

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication de deux Notes en mai. La première, en partenariat avec Quetelet-Progedo diffusion, analyse les représentations qu’ont les Français de leur place dans la société. Nous mettons en évidence un décalage entre l’image, globalement juste, qui émerge des questions d’auto-positionnement sur l’échelle sociale, et l’image, largement fausse, de la forme de la société française dans son ensemble. L’adhésion aux représentations populistes n’est semble-t-il pas sans lien avec cette dissonance. La deuxième découle d’une recherche de L. Wilner (Crest) sur les transitions entre niveaux de la satisfaction de vie. Ce travail met en évidence que la satisfaction de vie actuelle est fortement liée aux niveaux de satisfaction de vie passée, créant une forme de dépendance au chemin dont l’importance rivalise avec les conditions matérielles de la satisfaction. Nous relevons également un vaste panorama de travaux mobilisant les métriques de bien-être subjectif. Nous avons ajouté à nos sources d’informations récurrentes le blog Techno Sapiens, portant en particulier sur l’impact des technologies sur les enfants.

Nous avons eu une forte actualité éditoriale en avril, avec la parution de notre rapport annuel sur le bien-être en France, la note de conjoncture portant sur les données de mars, et une note jointe avec l’IRSN sur la perception que les...

Vous avez sans doute déjà vu l’annonce : nous vous attendons le vendredi 15 avril à 09h30 pour la présentation de notre rapport Le Bien-petre en France. Il comprend cette année une analyse des évolutions trimestrielles du bien-être sur les deux dernières années et deux focus trimestriels, un sur la perception des risques et l’autre sur le bien-être dans le système scolaire. Nous espérons vous retrouver nombreux en ligne ! Nous avons par ailleurs publié en mars une Note qui s’intéresse de plus près aux personnes les plus satifaites et les moins satisfaites sur chacune des dimensions de notre tableau de bord. Loin d’une France polarisée, cette analyse montre une multiplicité des lignes de séparations, qui ne dessinent pas des groupes uniformément heureux ou malheureux. Nous nous sommes aussi livrés à une rapide lecture de l’édition 2022 du World Happiness Report.

La guerre en Ukraine occupe certainement une large part de nos préoccupations à tous, ce qui rend cette newsletter un peu étrange à envoyer. L’actualité de février a pourtant été riche dans notre domaine. Pour la première fois, nous mobilisons l’enquête CoviPrev de Santé Publique France pour mieux comprendre les ressorts de l’hésitation vaccinale. Dans le même temps, l’Insee apporte une précieuse contribution à la vision territoriale du bien-être en France. Nous relevons également une riche actualité sur les conséquences de l’épidémie – toujours là – lais aussi sur les stéréotypes de genre, les écrans ou les conditions de travail. Vous vous souvenez de notre Rapport 2020 sur le bien-être en France ? Nous sommes en train de finaliser l’édition 2021, vous devriez recevoir très bientôt une invitation à la conférence de présentation. Si vous connaissez des personnes susceptibles d’être intéressées, n’hésitez pas à nous donner leur contact.

Ce mois de février commence pour nous par la livraison de notre baromètre trimestriel du bein-être des Français, appuyé sur les données de décembre 2021. Si les principales dimensions du bien-être évaluatif résistent, le sentiment de bonheur s’est assez fortement replié tandis que celui de dépression augmente. L’arrivée annoncée de la vague omicron n’y est sans doute pas étrangère. Sur le modèle de notre Rapport 2020 paru l’an dernier, nous allons publier dans les semaines qui viennent une édition 2021, qui s’articule essentiellement autour de deux thèmes : les deux ans de pandémie et le bien-être en milieu scolaire. Nous vous enverrons très bientôt les invitations pour la présentation, qui aura lieu début mars.

Bonne année à toutes et à tous ! Alors que cette rentrée 2022 se fait en France sous le signe du télétravail, notre première Note de l’année examine les conséquences du basculement vers ce mode d’organisation au Royaume-Uni en 2020. L’analyse des conséquences de l’épidémie occupe à nouveau une place importante dans notre relevé des contributions ce mois-ci. Cette place ne doit toutefois pas masquer des évolutions de fond pour l’ensemble de la profession, comme la mise en place de megastudies, ou la diffusion progressive au du CV narratif comme antidote à la longue liste de fonctions et publications.

Alors que la fin de l’année approche, notre sélection d’articles du mois insiste à nouveau sur les conséquences de la pandémie. Si nous ne sommes pas encore sorties de celles-ci, les conséquences directes de la première vagues commencent à apparaître plus clairement. Nous mettons aussi en lumière le lancement du programme IDEE, hébergé par le J-PAL Europe. Cet équipement constituera un appui précieux pour l’expérimentation en milieu éducatif, avec déjà un grand chantier de simplification de l’accès aux données administratives pour la recherche.

Nous avons publié le 18 octobre dernier notre tableau de bord trimestriel du bien-être en France. Il est dominé par une stabilisation des indicateurs de bien-être subjectif à un niveau comparable à celui d’avant l’épidémie, mais avec des points de divergences entre génération, et le prolongement de la lente dégradation des perspectives des générations futures. Nous relevons par ailleurs ce mois-ci un ensemble varié de contributions, allant du jeu vidéo à la cartographie participative du bien-être local dans les territoires ruraux, en passant par une note de DataColada mettant en garde contre la méthode par défaut de Sata pour le calcul des p-valeurs associées à des expériences randomisées contrôlées.

La diversité des sujets traités dans les articles que nous relevons dans cette Newsletter d’octobre est un témoignage du dynamisme du champ, mais aussi de l’élargissement de l’usage des indicateurs de bien-être subjectifs à de nouveaux domaines. Nous relevons particulièrement la récente Note du Conseil d’analyse économique sur la manière dont l’économie et la société française ont traversé la crise sanitaire, ainsi que son focus sur la confiance dans les scientifique. Un autre point d’attention est le débat dont nous relevons quelques articles sur l’existence et la généralité d’une courbe en U du bien-être selon l’âge.

Avec quelques jours de retard, l’équipe de l’Observatoire du bien-être vous souhaite une bonne rentrée ! L’actualité de la recherche et des politiques publiques du bien-être ne s’est évidemment pas arrêtée pendant l’été, ainsi qu’en témoigne un abondant relevé de publications. Nous soulignons en particulier les positions assez structurantes du Ministère des finances britanniques quant à l’usage des métriques de bien-être dans l’évaluation des politiques publiques – un débat qu’il nous semble important de structurer en France. Le Cepremap vous invite à réserver votre fin d’après-midi du jeudi 23 septembre pour assister à la première édition des Dialogues interdisciplinaires, afin cette fois-ci de comprendre pourquoi la transition démographique est plus lente que prévue en Afrique.

En ce début juillet, nous publions à quelques jours d’intervalle deux Notes. Dans la première, nous explorons ce que le panel 2011 de la DEPP nous apprend du bien-être des élèves de primaire, avec ses contrastes entre genre et catégories sociales. La deuxième, notre notre de conjoncture trimestrielle, relève un sentiment de retour à la normale en juin. La plupart de nos indicateurs affichent un rebond important après un mois de mars où le moral des Français était particulièrement en berne. La DEPP d’une synthèse de leur travaux sur le bien-être des enseignants, qui vient faire le point sur plusieurs années et plus d’une dizaine de publications sur ce thème. Outre le très grand intérêt propre de ces résultats, qui jettent une lumière bienvenue sur les perceptions des enseignants quant à leur activité professionnelle, nous sommes évidemment très heureux de voir ainsi soulignée l’importance du bien-être subjectif dans l’accomplissement professionnel dans la fonction publique. Parmi les nombreux articles que nous relevons ce mois-ci, l’un a déjà fait beaucoup parler de lui : en mobilisant l’European Working Conditions Survey, Soffia, Wood & Burchell testent empiriquement les principales thèses des Bullshit Jobs de D. Graeber. S’ils établissent bien un lien entre le sentiment de faire un travail inutile et une faible satisfaction de vie, les auteurs soulignent que cela ne concerne qu’une faible proportion des répondants, et que les métiers concernés ne sont pas principalement ceux visés par Graeber.

Début mai, nous avons publié le second volet de notre exploration du bien-être des adolescents dans les enquêtes PISA. Nous mettons en évidence que si les élèves Français expriment un sentiment d’appartenance à l’école en retrait par rapport à la moyenne de l’OCDE, ce retrait doit beaucoup à une mauvaise impression des relations avec les professeurs. Plus que dans les autres pays, ceux-ci sont perçus comme injustes et sous-estimant les capacités des élèves. Alors qu’en France la vaccination, l’allègement des contraintes sanitaires et l’amélioration de la météo donnent un air de liberté (en partie) retrouvée, les publications sur les conséquences de l’épidémie restent riches. Ainsi, le Crédoc montre que l’isolement a probablement eu des effets sur la cohésion sociale, avec une tension des relations entre générations et une crispation sur le thème de la sécurité de part de personnes qui, confinement oblige, y ont pourtant été moins exposées.

Notre Note de conjoncture montre une chute marquée de nos métriques de bien-être. La période de résistance qui avait commencé avec le premier déconfinement semble être arrivée à sa fin. Les jeunes sont particulièrement touchés par cette dégradation. À l’occasion de plusieurs publications, nous revenons également sur ce que nous permettent d’apprendre les enquêtes existantes et de pointer là où existe une marge de progression en France.

Nous poursuivons ce mois-ci nos travaux sur les relations entre éducation et bien-être avec un premier travail mobilisant les données PISA. Celles-ci nous permettent d’explorer les relations – complexes – entre bien-être et performances scolaires ainsi que l’écart entre filles et garçons dans ce domaine. Comme chaque année, ce mois de mars est marqué par la publication du World Happiness Report, qui cette année est bien évidemment placé sous le signe des conséquences de l’épidémie. Nous relevons également de très nombreux articles qui placent les métriques de bien-être subjectif au centre de leur analyse.

Nous remercions toutes celles et tous ceux qui ont assisté à la conférence de présentation du Bien-être en France le 08 février dernier. Les vidéos de l’événement sont maintenant en ligne. Tant la richesse des discussions que l’intérêt suscité nous ont convaincus de l’intérêt d’un rendez-vous régulier sur ce point. Nous commençons donc déjà à travailler sur l’édition 2021 ! Outre notre sélection d’articles, nous vous rappelons ce mois-ci la publication, le 20 mars prochain, de l’édition 2021 du World Happiness Report, sur le thème cette année des conséquences de l’épidémie de Covid-19.

Ce mois de janvier marque l’aboutissement de plusieurs chantiers en cours depuis plusieurs mois à l’Observatoire. Nous sommes tout d’abord très heureux de vous annoncer la publication de notre ouvrage Le Bien-être en France : Rapport 2020. Fondé sur quatre années de travaux, dont une bonne part inédits, cet ouvrage déploie notre suivi des dimensions du bien-être en France, à la fois en lien avec la conjoncture et de manière spécifique sur un ensemble de domaines. Nous vous donnons rendez-vous l’après-midi du 08 février pour vous le présenter. Notre note conjoncturelle, qui montre un contraste entre le reflux des dimensions émotionnelles du bien-être vers leurs niveaux de moyen terme, après l’euphorie de juin, et les dimensions plus matérielles, qui restent à un niveau élevé. Avec Sarah Flèche, nous retraçons dans « Ces Enseignants qui nous marquent » certains des principaux résultats de son étude sur le long termes de l’effet des enseignants sur les performances cognitives et non-cognitives des élèves. Nous relevons également un grand nombre de publications, allant de la parution des résultats de l’enquête VIRAGE par l’Ined au rapport très critique du Wellcome Trust sur les conditions d’exercice de la recherche.

Toute l’équipe de l’Observatoire vous présente ces meilleurs vœux pour 2021. Alors qu’arrivent les premiers vaccins, nous espérons que cette nouvelle année verra un intérêt renouvelé pour la mesure du bien-être subjectif et la mise...

Ce mois d’octobre voit à nouveau une sélection importante d’articles sur les conséquences du Covid-19, mais aussi plus généralement sur l’ensemble du champ d’intérêt de l’Observatoire. Nous avons ce mois-ci le plaisir de souhaiter la bienvenues à deux nouveaux chercheurs dans notre réseau, Lionel Wilner (CREST), dont nous relevonons ce mois-ci unecontribution sur la persistence des facteurs de la satisfaction dasn la vie, et Martín Fernandez Sanchez (PSE), qui vient de soutenir brillament sa thèse. Nous vous rappelons que vous êtes toutes et tous invité.e.s à la présentation en ligne de l’Opuscule La Valeur des réseaux, par Margherita Comola.

Nous vous proposons trois publications ce mois-ci. Nous note de conjoncture trimestrielle montre un repli modéré des principaux indicateurs de bien-être subjectif après leur amélioration spectaculaire en juin. Ce mouvement résulte d’évolutions socialement contrastées : le repli est en fait marqué pour les ménages aisés et de classe moyenne, tandis que les ménages les plus modestes, qui avaient moins amélioré leur évaluation en juin, continuent de percevoir une progression de leur situation. D’autre part, nous vous proposons une rapide revue de littérature sur les manières d’utiliser les messages postés sur Twitter comme un outil de mesure alternatif du bien-être subjectif. Enfin, une enquête du Pew nous permet de remettre à jour et d’ajouter une dimension politique à notre note d’avril sur le degré de confiance que les Français accordent à la science et aux scientifiques. De nombreux articles ont attiré notre attention en octobre. Les conséquences de la Covid-19 cèdent dans cette sélection la place à une plus grande variété de thèmes. Nous soulignons en particulier la publication par l’Insee d’un document de travail qui propose une méthodologie de calcul pour un PIB ressenti. Cette méthode repose particulièrement sur les évaluations de satisfaction de vie. Le nouveau confinement déclaré en France et au Royaume-Uni va probablement générer de nouvelles occasions d’étudier les conséquences de ce mode de lutte contre l’épidémie.

En fondant l’Observatoire du bien-être, le CEPREMAP a voulu créer et animer une communauté scientifique ayant en commun en travail sur les métriques de bien-être subjectif. Nous avons déjà réuni tout un réseau, mais les jeunes chercheurs...

L’équipe de l’Observatoire vous souhaite une bonne rentrée. Nous avons publié en juillet une Note jointe avec le Crédoc qui fait le point sur la manière dont les situations ont influé sur le ressenti du confinement. Nous mettons en...

L’épidémie de covid-19 a donné lieu à un nombre impressionnant de publications. Cette newletter est par conséquent plus longue que d’habitude. Nous nous réjouissons de voir la place qu’ont pris les métriques de bien-être dans l’analyse des conséquences de l’épidémie, et espérons que cela favorisera leur utilisation pour la conception et l’évaluation des politiques publiques. À ce sujet, nous relevons l’édition spéciale de Behavioural Public Policies qui fait le point sur les enjeux d’un tel usage. Par ailleurs, nous publions début juillet notre note de conjoncture, qui donne une photo de la France en cours de déconfinement. D’autres publications suivront au cours de l’été. Comme les années précédentes, il n’y aura pas de newsletter en août, nous vous retrouverons donc avec plaisir début septembre.

Comme dans notre numéro précédent, nous relevons dans une rubrique dédiée les contributions portant sur la pandémie de Covid-19 et ses conséquences. Il n’en reste pas moins de nombreuses contributions notables sur nos sujets habituels. Afin de répondre nous aussi aux enjeux et sollicitations de la situation, nous avons anticipé le recrutement d’un nouvel assistant de recherche. Dylan Alezra nous rejoint donc dès ce mois-ci, nous lui souhaitons la bienvenue !

Cette Newsletter est bien évidemment dominée par l’actualité liée à l’épidémie de COVID-19. Les travaux de l’Observatoire se placent en amont : d’une part, nous examinons la relation des Français à la science. Si celle-ci remporte toujours une adhésion large, les phénomènes de rejet auxquels nous avons pu assister par exemple au sujet du glyphosate ou des vaccins ne constituent pas un épiphénomène, mais reflètent la position d’une minorité défiante. Notre note de conjoncture, d’autre part, montre que le bien-être subjectif des Français était, quelques jour avant le confinement, encore peu affecté. Le confinement lui-même est donc probablement arrivé comme une surprise, sinon un choc. Les études en cours sur les conséquences de l’épidémie sont extrêmement nombreuses : la sélection que nous présentons ici est nécessairement partielle.

Nous souhaitons naturellement que cette Newsletter vous trouve, vous et vos proches, en bonne santé. Le confinement affecte nos activités à tous, mais il faut sans doute souligner la vitalité et la réactivité de nombreuses équipes qui se sont mobilisées pour organiser et coordonner la collecte de précieuses données sur les conséquences de l’épidémie et du confinement. L’Observatoire participe à plusieurs de ces efforts, nous espérons pouvoir vous en parler bientôt. En attendant, restez chez vous !

Nous publions ce mois une note sur les comportements hostiles subis au travail. Avec une personne concernée sur trois dans l’enquête Conditions de travail, le phénomène est malheureusement fréquent. Le travail que nous présentons montre que les comportements se cumulent souvent, et prennent rapidement une coloration sexuelle quand les victimes sont des femmes. Nous saluons par ailleurs l’ouverture de deux blogs institutionnels de première importance, celui de l’Insee et celui de l’IPP. À l’ère d’une information rapide et circulant par de nombreux canaux, nous partageons l’idée exprimée par ces deux institutions que le blog comble un manque entre les documents de recherche et notes d’analyses, ancrées dans un temps long, et les prise de position immédiates relayées par les médias. Bienvenue à eux !

Contrairement à ce que nous attendions, la contestation de la réforme des retraites n’a pas eu dans notre tableau de bord trimestriel du bien-être en France un effet aussi visible que celui qu’avait eu la crise des Gilets jaunes il y a un an. Ce mois de janvier a vu la publication par le Conseil d’Analyse Économique d’une série de notes sur les dimensions territoriales du bien-être, dont les analyses s’appuient en partie sur les travaux de l’Observatoire en la matière. Nous sommes évidemment heureux de voir d’autres institutions se saisir ce ces outils. En termes d’actualité de la recherche, nous affichons un menu varié, avec un retour international sur la courbe en U du bien-être dans le cycle de vie, une étude à 70 000 participants du trolley problem et une note de la DRESS sur le mal-être et la solitude parmi les personnes âgées en établissement d’accueil. Le CEPREMAP présentera le 14 février prochain son Opuscule Mondialisation des échanges et protection des consommateurs, par Anne-Célia Disdier, au 48 bd. Jourdan, 12h30-14h00.

Tout d’abord, nous vous souhaitons à toutes et tous une excellente année 2020 ! Nous espérons qu’elle nous donnera l’occasion de vous rencontrer et de travailler avec vous sur nos sujets communs. De notre côté, nous nous sommes intéressés fin 2019 au sentiment de solitude en France, ce qui a conduit à la note de ce début d’année. Ce travail est naturellement en dialogue à la fois avec l’Insee Focus de septembre dernier sur l’isolement, et avec le rapport du Credoc pour la Fondation de France. Sur le plan des actualités de la recherche, nous avons repéré en décembre une série d’articles explorant les ressorts du populisme et de la contestation, mais aussi le compte-rendu d’une expérimentation de grande ampleur sur les conséquences des transferts directs.

Notre attention a été attirée par une large gamme de sujet au cours de ce mois de novembre : présentéisme, effet des robots sur les enquêtes en ligne, effet du temps partiel sur la satisfaction… nous vous invitons à parcourir la liste. Nous relevons particulièrement le European Cohort Development Project, qui a pour objectif la mise en place d’une vaste enquête de cohorte à l’échelle européenne. On sait à quel point ces enquêtes sont clef pour les sujets qui intéressent l’Observatoire ! Du côté du CEPREMAP, l’Observatoire a publié sa note trimestrielle sur le bien-être en France. Les résultats sont dans la continuité des éditions précédentes, mais avec des point de fragilité de plus en plus affirmés. Par ailleurs, un récent document de travail du CEPREMAP effectue une utile mise au point sur les attitudes des Français face au changement climatique.

Clément Bellet avait eu l’occasion de présenter en séminaire à PSE son travail quasi-expérimental sur le lien entre bonheur et productivité individuelle. Il est maintenant publié dans la collection des documents de travail du CEPREMAP. Iris Laugier, de son côté, nous donne sa vision de la conférence donnée le 27 septembre dernier par J. Stiglitz à PSE. Nous relevons par ailleurs une actualité des publications de recherche riche et variée, qui reflète la diversité des centres d’intérêt de l’Observatoire. Nous vous rappelons que l’Observatoire peut se mobiliser pour restituer sous un format de note des résultats de recherche dans son domaine que vous voudriez communiquer à un public plus large.

Parmi les articles que nous avons relevés au cours de ce mois, les abonnés au compte Twitter de l’Observatoire (@ObsBienEtre) ont particulièrement relayé la synthèse nuancée de Our World in Data concernant l’impact des réseau sociaux sur le bien-être, et l’expérience mettant en évidence un décalage entre le ressenti des étudiants face aux méthodes d’apprentissage actif et leur degré d’acquisition effectif des contenus du cours. Nous avons aussi été particulièrement intéressés par le INSEE Première no1770 portant sur l’isolement en France. Poursuivant des analyses présentées dans Les Origines du populisme, l’examen de l’isolement et du sentiment de solitude constituera une ligne de force des travaux de l’Observatoire sur 2020 – 2021. Nous avons enfin le plaisir de vous convier le 11 octobre prochain à la présentation de l’ouvrage La Vie des couples après la retraite, de Nicolas Moreau et Elena Stancanelli.

En ces premiers jours de septembre, nous vous souhaitons à tous une bonne rentrée ! Vous l’avez sans doute déjà vu : l’ouvrage Aux origines du populisme, largement fondé sur la collaboration entre le CEVIPOF et l’Observatoire, est paru le 29 août dernier. L’Observatoire fait également sa rentrée avec une note qui s’intéresse à la transition entre la vie active et la retraite : quel est l’impact de cet événement majeur sur le bien-être des Français ? Nous trouvons des résultats contrastés, en particulier en fonction de la situation professionnelle avant la retraite, et un maintien des contrastes sociaux après la retraite. Par ailleurs, nous avons relevé cet été un nombre conséquent d’article, dont nous espérons qu’ils vous intéresseront.

Dans cette dernière newsletter avant la pause estivale, nous présentons quelques nouveautés concernant le bien-être subjectif et des avancées vers une science plus ouverte et reproductible. Nous relevons également, comme en écho, deux cas de chercheurs ayant présenté des résultats remarqués, avant de se rendre compte que ces résultats étaient fondés sur une mauvaise compréhension de leurs sources, statistiques ou administratives. Deux leçons à retenir pour nos propres travaux ! Bonnes vacances à toutes celles et ceux qui en prennent, et nous nous retrouvons en septembre.

Notre note de mai dresse un panorama des évaluations subjectives que font les Français d’éléments-clef de leur vie et de la situation du pays. Nous mettons ces évaluations en regard de celles émises par les autres Européens. Nous signalons également deux articles co-écrits par des membres du réseau et publiés en mai – n’hésitez pas à nous signaler vos publications ! Vous êtes par ailleurs cordialement invité.e.s au 48 Bd. Jourdan le vendredi 28 juin prochain pour la présentation de l’ouvrage La Vie des couples après la retraite, par Nicolas Morreau et Elena Stancanelli.

Nous avons publié en avril notre note de conjoncture, qui montre un net rebond des indicateurs de bien-être subjectif, qui avaient fortement chuté en décembre. Le mois a par ailleurs été l’occasion d’une actualité importante, et sur les sujets de fond, nous revenons sur la palette d’outils informatiques mis à disposition des chercheurs par les institutions publiques, en remplacement des plates-formes les plus connues. Vous êtes par ailleurs cordialement invité.e.s au 48 Bd. Jourdan le vendredi 24 mai prochain pour la présentation de l’Opuscule no51, Voter autrement.

Le mois de mars a été marquée par la publication du World Happiness Report, auquel a participé Clément Bellet sur le thème des Big Data. Nos récents travaux sur les relations entre bien-être et vote y sont également cités. De nombreux articles ont attiré notre attention ce mois-ci, dont trois documents de travail proposés par des chercheurs de l’Observatoire, mais aussi des travaux méthodologiques sur l’utilisation des données de bien-être subjectif et plus généralement sur la compréhension des indicateurs usuels de significativité statistique. Vous êtes par ailleurs cordialement invité.e.s au 48 Bd. Jourdan le vendredi 19 avril prochain pour la présentation de l’Opuscule no50, La Polarisation de l’emploi en France, ce qui s’est aggravé depuis la crise de 2008.

Comme nous vous l’annoncions en janvier, nous avons publié en février trois notes, dont une en partenariat avec le Cevipof de SciencesPo. Ce triptyque examine l’état d’une France en pleine crise de mal-être, dont les Gilets jaunes et le large soutien dont ils ont initialement bénéficié sont le symptôme le plus visible. Nous y décelons en particulier un approfondissement de la restructuration de l’espace politique selon les axes que nous avions mis en évidence sur le premier tour de l’élection présidentielle de 2017 : bien-être subjectif et confiance interpersonnelle sont devenus les dimensions discriminantes du positionnement. Vous êtes par ailleurs cordialement invité.e.s au 48 Bd. Jourdan le vendredi 15 mars prochain pour la présentation de l’Opuscule no49, Competition Between Hospitals.

Depuis la mi-janvier, le flux d’actualités sur le bien-être subjectif a été assez dense. Qu’il s’agisse de l’IZA, qui analyse les réformes du marché du travail sous l’angle du bien-être subjectif, ou de l’ONS qui lance un nouveau tableau de bord du bien-être des ménages, les métriques subjectives gagnent en visibilité et en légitimité dans la sphère publique européenne. De notre côté, nous allons publier très prochainement une série de notes sur le mal-être que traduit le mouvement des Gilets Jaunes. Vous êtes par ailleurs cordialement invité.e.s au 48 Bd. Jourdan le vendredi 15 mars prochain pour la présentation de l’Opuscule n°49, Competition Between Hospitals.

L’Observatoire du bien-être du CEPREMAP vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2019 ! En ce début d’année, nous avons été fortement mobilisés par des travaux sur le mouvement des Gilets Jaunes, dont nous pensons qu’il est le reflet d’un mal-être que nous pouvons délimiter socio-économiquement et territorialement par nos métriques de bien-être subjectif. Ces travaux devraient déboucher sur une publication en février.

Nous sommes heureux de vous annoncer que l’Opuscule Les Français, le bien-être et l’argent a obtenu le prix lycéen Lire l’économie 2018, organisé par le Ministère de l’Éducation nationale. Comme vous le voyez, de nombreux articles ont attiré notre attention au cours du mois de novembre. Nous espérons qu’ils vous intéresseront ! À toutes celles et ceux que nous n’aurons pas la chance de voir d’ici-là, nous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d’année, et vous donnons rendez-vous en janvier 2019 !

Ce mois-ci, notre note porte sur les contrastes de bien-être entre les types d’aires urbaines, révélant un point sensible au niveau des villes moyennes. La dimension géographique et territoriale du bien-être subjectif suscite un intérêt renouvelé ces derniers mois, et nous entendons bien alimenter et contribuer à ce mouvement.

Deux publications en ce début d’automne. L’une qui analyse les élections de juin 2017 et la montée du populisme à la lumière du bien-être subjectif et de la confiance, qui permettent de donner un sens à la recomposition du paysage politique français. L’autre revient sur la relation entre diplôme et bien-être, mettant en évidence le rôle des études dans la construction de la confiance. Nous nous posons également des questions méthodologiques, avec plusieurs articles qui interrogent les outils de base de la mesure du bien-être subjectif. Nous vous proposons de venir discuter l’un d’entre eux le mardi 06 novembre, à l’occasion d’un atelier de lecture. Nous vous rappelons également que vous êtes invités le vendredi 12 octobre à la présentation de l’Opuscule La Transition écologique en Chine. Pensez à vous inscrire !

Cette newsletter fête ce mois-ci sa première année d’existence ! Nous espérons que vous y trouvez chaque mois des ressources intéressantes. Au cours de cette première année, nous nous sommes attachés à compléter le travail de veille sur les articles par un travail similaire portant sur les sources de données, outils et méthodes de recherche. La crise de la réplication qui touche la psychologie expérimentale a en effet donné un relief particulier à l’évolution en cours dans la manière de mener des recherches qui visent à mettre en évidence des effets causaux en sciences sociales, dans un contexte plus général de défiance accrue à l’égard de la science et des scientifiques. Le cadre légal est lui aussi en évolution rapide, avec le Règlement Général pour la Protection des Données, qui après avoir encombré nos boîtes mails, va avoir des répercussions très sensibles sur notre manière de collecter, traiter et archiver les données de recherche. Nous allons probablement poursuivre sur l’ensemble de ces thèmes pour cette deuxième année, mais toutes vos remarques et suggestions sont évidemment les bienvenues.

Pour cette dernière newsletter avant la pause estivale, il sera beaucoup question de science ouverte et de reproductibilité. La crise ouverte dans le domaine de la psychologie expérimentale a en effet des implications qui touchent directement la manière de mener des recherches empiriques en général. Nous voyons ainsi émerger de cette crise un ensemble d’outils et de pratiques qui vont probablement devenir la norme au cours de la prochaine décennie.

Tout d’abord, merci à tous ceux d’entre vous qui ont participé à la demi-journée du 25 mai. Nous pensons que ces moments d’échanges sont fondamentaux pour éclairer nos recherches ainsi que l’action fédératrice de l’Observatoire. Cela a d’ailleurs été l’occasion pour nous de faire la rencontre de Maria Melchior (INSERM), que nous accueillons avec joie dans le réseau de l’Observatoire !

Les plus observateurs d’en vous auront certainement remarqué un changement d’apparence dans la version PDF de cette newsletter. Nous utilisons désormais une police plus caractéristique du Cepremap, le Gill Sans, que vous connaissez bien puisqu’il s’agit de la police utilisée pour la collection des Opuscules. La principale actualité du moi pour l’Observatoire est naturellement la matinée du 25 mai, qui combinera une présentation de nos activités et la conférence de lancement de l’Opuscule du Cepremap n°46 Les Français, le bonheur et l’argent, par Y. Algan, E. Beasley et C. Senik. Nous espérons vous y voir nombreux.

Une riche actualité est apparue sur nos écrans au cours du mois de mars, nous espérons que les sujets variés vous intéresseront. Nous avons surtout ce moi-ci le plaisir de vous inviter à réserver votre matinée (et votre déjeuner) du 25 mai prochain. Nous organisons en effet une demi-journée de présentations sur le bien-être en France, qui culminera avec la présentation par Claudia, Elizabeth et Yann du dernier Opuscule du Cepremap, Les Français, le bonheur et l’argent. N’oubliez pas de vous inscrire !

Crowdfunding, crowdsourcing, l’appel à la foule pour lever des fonds, résoudre des problèmes ou écrire une encyclopédie constitue un modèle d’acquisition de ressources donc l’utilisation va croissante. Ce mois-ci, nous relevons deux projets, Secrets of Happiness et i-Share qui étendent ce principe à la collecte de données.

Cette newsletter est en ce mois de février riche en ressources : le Projet QuInnE a organisé un séminaire de restitution, nous avons obtenu l’accès à une riche enquête sur l’usage des médias sociaux (avec des questions de bien-être subjectif), une roborative introduction au machine learning par et pour les économistes. Nous espérons que celles-ci vous ouvrirons de nouvelles perspectives dans vos recherches.

Toute l’équipe de l’Observatoire du Bien-être vous souhaite une bonne et heureuse année 2018. Cette année débute sous d’heureux auspices pour les études sur le bien-être subjectif, avec la parution de l’ouvrage The Origin of Happiness, cosigné par deux chercheurs de l’Observatoire. Nous espérons que cet ouvrage contribuera à sensibiliser chercheurs et grands publics à la richesse et à la pertinences des recherches sur les déterminants du bien-être.

Cette dernière newsletter de l’année 2016 est placée sous le signe de la diffusion. Au cours des dernières semaines, nous avons crée un module web d’exploration de l’enquête trimestrielle sur le bien-être en France, traduit une page remarquable d’introduction aux recherches du bien-être subjectif et créé un carnet de recherche, ouvert à tous les membres du réseau, sur la plus importante plate-forme du genre. Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année, et espérons vous retrouver en forme en janvier !

Depuis la dernière newsletter, nous avons reçu les données de la vague de septembre de la plate-forme Bien-être adossée à l’enquête Camme de l’Insee. Au-delà de la note d’analyse, nous avons travaillé à la construction d’une base de données de référence pour cette enquête et à un module d’exploration que nous espérons présenter bientôt aux chercheurs intéressés. Nous profitons par ailleurs de cette newsletter pour vous présenter quelques équipes et institutions que vous connaissez peut-être, actifs dans la recherche, l’accompagnement et l’évaluation des politiques publiques sur les thèmes de l’Observatoire.

Maintenant que la rentrée est passée, l’Observatoire prend progressivement son rythme de croisière. Plusieurs Notes sont en cours de rédaction, et nous attendons avec impatience la vague de septembre de la plate-forme Bien-être adossée à l’enquête Camme de l’Insee. Nous lançons par ailleurs des projets de recherche sur le thème du suicide et des conduites à risques des jeunes. La grande nouvelle du mois est évidemment la décision de l’Académie des Sciences de Suède d’attribuer le Prix de la banque de Suède en mémoire d’Alfred Nobel à Richard Thaler. Ce prix va certainement susciter l’intérêt pour l’ensemble des travaux en économie comportementale.

Nous inaugurons aujourd’hui un nouveau format de communication pour l’Observatoire du Bien-être. Par cette Newsletter, que nous espérons mensuelle, nous partagerons avec vous les actualités de l’Observatoire, publications et événements, mais aussi les publications externes qui auront retenu notre attention. Bien évidemment, toutes vos suggestions sont les bienvenues.