- La Revue des deux mondes, « Le culte dévastateur du « bon vieux temps » », P.-A. Delhommais, avril 2019
- Le Point, « Le syndrome de Calimero », Pierre-Antoine Delhommais, 22 octobre 2018
- Slate, « Macron, ou le mec qui a un espoir de dingue », Eric Le Boucher, 10 juillet 2018
- Les Échos, « Le pouvoir d’achat, cauchemar de tous les gouvernements », Guillaume de Calignon, 03 juillet 2018
- Le Point, « Ne nous parlez pas de bonheur ! », Pierre-Antoine Delhommais, 08 Juin 2018
- Philosophie Magazine, « L’argent fait le bonheur des Français… par défaut », 29 mai 2018
- Le Monde, « Le pouvoir d’achat fait le bonheur », chronique de Jean-Michel Bezat, 29 Mai 2018
- BFMBusiness, « Les livres de la dernière minute », 23 Mai 2018
- Le Monde Eco & Entreprises, « Du bonheur et du malheur d’être français », chronique de Philippe Escande, 05 mai 2018
- Les Échos, 05 mai 2018, recension
- Les Echos, « Macron veut de l’optimisme, les Français veulent de l’argent », chronique d’Éric Le Boucher, 03 Mai 2018
- Le Monde, « L’argent rassure les Français » par Julie Clarini, 28 avril 2018
Les Français, le bonheur et l’argent
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La presse en parle
Résumé
Bonheur, satisfaction dans la vie, confiance et optimisme : où en sont les Français ? Il existe une spécificité française en matière de bien-être et ce livre met en lumière plusieurs paradoxes.
Les Français se disent moins heureux et plus pessimistes que la plupart des citoyens des autres pays européens ; ce mal-être concerne avant tout les questions économiques ; et c’est en France que la relation entre bonheur et argent est la plus forte. Ceci vient sans doute de leur défiance vis-à-vis des institutions : ne pouvant plus compter sur elles pour organiser leur destinée collective et les protéger contre les principaux risques de la vie, les Français se replieraient sur leurs ressources personnelles. Au malheur collectif s’oppose alors un bonheur privé.
Mal-être et défiance se traduisent par un processus de polarisation politique, avec la montée de l’extrême droite notamment. Lors des dernières élections présidentielles, le vote en faveur d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen a marqué le clivage entre optimistes et pessimistes. Quelle que soit sa postérité, le sursaut d’optimisme du mois de juin 2017 montre que, même si l’état d’esprit des Français est si ancien qu’il finit par se confondre avec une attitude culturelle, il n’est pas pour autant irréversible.